• Je conserve malgré tout l'unisson sur FA dans l'alleluia final, car celui-ci se distingue des autres mots et l'accent, dans ces cas, est plutôt mis sur le FA et non le MI.
• Il suffit de regarder les aquitains (ex Tolède 44-2 ANT In illa die, fo 3v) et les bénéventains également, quoiqu'avec une légère variante (à alLEluia) insistent grandement sur le FA, alors que pour une finale non alleluiatique, tous mettent le MI