Oui. J'ai longuement exposé le fait à Dom Frigo, après examen de plus de 200 témoins...
Ce bémol est aisément observable dans le même contexte quand l'architecture est plus développée. A ce propos, cf :
• AM34/805 ANT Hodie beata Virgo Maria "Deum in aeternum" [pour l'anecdote, ce même passage permettrait de traduire le (pe>) final parle GABC (gh>), car Quedlindburg/39 met (pelsal7), et pourtant, AUCUNE traduction sur lignes du (pe>) pour ANT Ego dormivi et Cie]
• AM34/521 ANT Loquebantur, "alleluia" final
• AM34/1018 ANT Hodie Maria Virgo..."in aeternum"
• Regarder aussi ANT Astiterunt reges terrae "convenerunt in unum"
dcrochu - May 2, 2025, 4:53 p.m.
Alors pourquoi n'avoir pas ajouté le sol, première note du pes dans l'alléuia final ?
Concernant le bémol, ok - mais tu me renvoies à l'A/ Hodie beata virgo qui dans l'AM n'a pas de bémol. Cela se mord la queue : le bémol manque ici parce qu'il devrait être aussi là-bas. Cependant, il n'offense pas l'oreille, donc je suis tout prêt à l'admettre.
marteo - July 9, 2025, 4:32 p.m.
L'AM34 n'est malheureusement pas une référence....regarde par exemple l'antienne Appropinquabat autem dies festus : la formule d'intonation, avec bécarre, se trouve condensée, avec bémol, dans "et quærebant".
Va pour le pes, en effet...! Dom Saulnier n'avait pas donné une solution convaincante avec son pes FA-LA...